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        France Big Band de l'Olympia

   Association Jazzaparc Pt Jacques GAY

James Darlays

porte parole  du Big Band de l' Olympia -- Paris --

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JO                              p.19 du site                                    livre:6ème page Net

(paragraphe 27 du site) E.M.M.                                                                                                                     revenir p.18

CHAP.41 (du livre)

En ce moment, nous découvrons en télévision, des danseurs à mon avis nouveaux. En effet la danse sur glace fait une progression dans le rythme et le swing. Les jeux d'hiver sont ouverts et on verra le couple Péchelat-Bourzat, et d'autres, s'appliquer beaucoup plus que dans d'autres années, tous dansent en rythme sur la glace, réduisant visuellement l'écart de gestes entre la danse normale et celle sur patins, en sachant bien les difficultés que les patins procurent... sur des musiques bien plus jazz qu'avant, et tant mieux, même si le choix est de titres anciens, ce qui prouve que ceux qui sont swing de nos jours, sont inconnus !. Quoi d'autre ? et si nous passions de J.O. à JO, dans ces lignes... ?

Nous sommes en février 2014, en écrivant ces lignes sur JO, ce père animateur et producteur des années 50, et voyons des infos d'enchères aux journaux TV, envers des voitures célèbres. Une Rolls a été celle d'Aznavour puis Bardot, et part à plus de 200.000€,. Elle est de 1966, et dans ce cas, je peux évaluer l'état des finances des artistes à l'époque. Pour situer ces lignes, (voir les pages précédentes) je fais en ce moment un dernier forcing avec mes titres, par des échantillons de quelques uns en Radios et Télés, ceci sur CD (des images étant sur les hébergeurs du Net, et mon site), mais rien ne se déclenche... Il y a déja pas mal de temps que j'ai contacté R. Pfilmlin, sans succès, et une émission de variétés dit, grace à sa speakerine, mes mots évoqués vers lui "(Cher Monsieur..), Chers téléspectateurs.. nous essayons un style J. Chancel avec notre présentation".

Ce style à Chancel était unique ; j'ai proposé de le réintroduire. "Chiffrez" m'a t on répondu (l'assistante du Pdg ci avant) avant même de me convoquer! D'autres temps d'antennes sont de l' intérêt en émissions, soit avec Drucker, puis tous les habituels, et ceux qui ont bien réussi leur ventes de disques, mais il y a peu de pression pour apporter du neuf. Comme d'habitude (Cloclo), ils se congratulent entre eux, et comme dans d'autres émissions, y compris sur les 'petites' nouvelles TV, ils sont prèts à défendre leur chapelle ou même à 'taper' sur d'autres émissions dites concurrentes, essayant tous , entre eux, de se trouver dans les mêmes créneaux horaires favorables. Aucun, toutes Télés confondues n'a compris que le téléspectateur se fiche des rivalités et ne demande que du "bon", et peu importe l'heure.

C'est ici que JO devient intéressant encore comme point de repère avec ce qui est plus haut. En 1966, ce sont les années "60", et une Rolls confirme le bon compte en banque. On comprend mal alors que 50 ans après, on reparle des "petites critiques" des débuts des carrières, à moins que la rancune soit longue envers une partie des critiques journalistiques tant de temps après ?.. Ou sont les embuches vers certains, en 66 ? avec de belles voitures devant la porte ? Par contre, juste quelques années avant, Bécaud, seul rival envers certains, était chez JO, en train de déjeuner d'un steak-frites préparé par Louise, tout simplement, et JO d'aller faire le plein de sa 4CV, en comptant ce qu'il lui restait pour finir le mois, produire d'autres artistes, et évaluer le trajet pour ramener Gilbert à temps à la gare de Perrache. Ces lignes de ce livre, sont écrites , rappelons le, en direct sur Internet (avant édition papier), et de suite, on peut réagir puisque les réseaux sociaux, facebook ou twitter mettent le lien pour connaître ce contexte en tout lieu ; (un formulaire de contact est en page 3 de site aussi). D'autre part, on a Sochi et les J.O. d'hiver en direct-Tv ces jours, et on apprécie, surtout si on a connu Grenoble, Alberville, Salt Lake City, ou Calgary et qu'on aime les sportifs et ces régions agréables en été ou en hiver. Cette aparté vers JO et J.O. pour faire la distinction entre prénom et abréviations...à l'époque où le Net s'introduit dans tous les contextes et où les mots clés peuvent se confondre.


CHAP.42

On ne ramène pas tout à JO, mais ce livre étant destiné à sa mémoire, on s'aperçoit, ou du moins j'utilise la situation, qu'il est possible de comparer de nombreux contextes avec ceux relatifs au trajet de JO . On a plus haut, signalé les facilités vers certains, pour le contact, et aussi car c'est plus difficile à vivre, les barrières virtuelles que se font d'autres, parfois proportionnelles à leur notoriété, afin de se protéger de tout. Ils sont sollicités souvent et dès lors, ils ne font plus la différence avec une demande qui sera quelconque, et une autre plus normale qui sera relative au coeur du 'métier'.

Un exemple est flagrant. J'ai dû cotoyer Mick Micheyl, tout comme Fred Mella, pour réaliser des petites vidéos, qui sont du reste sur Youtube ou Dailymotion, dans les années 2.000. Je les admire, jamais je n'ai demandé quoi que ce soit à ces amis qu'avait JO, mon père, relativement à l'édition de mon contexte artistique. Au contraire, j'ai jugé bon, car ils n'avaient pas spécialement demandé un film, de leur donner 'un coup de pouce' à une époque où le Net ne parlait pas d'eux...soit une façon de les inciter a faire un site, ou que sais-je un blog ? étant donné que plus aucune firme de disques n'allait passer du temps envers ces anciens. Souvenons nous de Salvador que je suis certain d'avoir réveillé quand il pensait ne plus rechanter, en lui passant "l'Ile d'Henry" qu'il n'a pas chantée mais qui permit à d'autres, plus opportunistes ou chanceux de s'engouffrer dans ma brèche et de le cotoyer.

De ce coté c'est réussi. D'autres petits films sont venu s'ajouter, dans d'autres régions, par d'autres passionnés, le pendant de celà, et des émissions connues les ont invités de nouveau, des émissions Tv qui se sont mises d'un seul coup à programmer d'anciennes vedettes. Ici , j'ai fait ce que JO lui-même aurait fait à ma place car c'était son style que de promouvoir tant qu'il en est possible. Par contre , vers d'autres que ces grands du spectacle, quand je suis allé bien avant demander une aide relative (voir paragraphes plus antérieurs), c'est vers des producteurs potentiels ou des actionnaires de firmes de disques, artistes ou non, que je m'adressais, en pensant leur faire réaliser une bonne affaire avec mes réalisations ou compositions. Là... ce fut raté et pour moi; et pour eux... Eux s'en sortent bien en ce moment, car déja 'bien vus en droits d'éditeurs' et royalties, ou en fonctions, et moi... qui galère toujours, de rappeler aux sociétés de droits d'auteurs qu'ils ne m'ont pas donné mon dû...(voir mon site annexe page 'biographie').

Merci encore...et je confirme que tous les bons mots qu'on dira en direct devant eux en TV, n'enlèveront pas à la réalité le qualificatif qui suit : ils sont égoïstes et ne pensent qu'à eux, et à la limite s'ils peuvent freiner un type doué, ils le feront, ceci n'enlevant rien à leurs qualités . Le "moi on ne m'a pas aidé" est FAUX !.. il y a simplement oubli des noms de ceux qui les ont aidés. Sinon, on est dans mon cas, peu reluisant. A remarquer que les mêmes sont les premiers à demander qu'on leur dise 'merci de m'avoir donné un coup de mains', surtout que souvent les nouveaux promus disent ceci pour ajouter une référence favorable alors que l'appui a été plus ou moins évident. Par exemple, PIAF a aidé beaucoup d'artistes ... même les projectionnistes ont trouvé du boulôt. Avez vous entendu de qui que ce soit, des remerciements envers Piaf ?, sauf par les Compagnons de la Chanson, Mella, ou Charles Dumont.

Bien qu'il n'ait pu pour raison de santé qui nous l'enleva, mener à bien tout un tas de contexte, JO mérite tous les remerciements de la terre, pour sa stature professionnelle, sa bonne humeur, son éternel besoin de réunir les talents sans compter ses élégantes prestations en scènes, accompagné par Nony, Tolombert ou Bertola, en Bourse du Travail, ou bien pour ses présentations des Miss du Comité Miss-France, au Palais d'Hiver.

CHAP. 43

Ce pourrait être le chapître 44...! mais non, le hasard est ainsi et , après quelques jours sans rédaction, je me replonge vers le lecteur par ce paragraphe, en raison des évènements actuels en avril 2014. On entend fêter les 70 ans du droit de vote des femmes. Je sais , je vais passer pour pénible, mais ce sont en réalité les 69 ans, et on est heureux de gagner un an de médiatisation du sujet , mais personne , ni moi, n'y voyons un inconvénient.

Compte tenu de ce que m'a (de façons précises) appris Louise, ma mère, et en complément de ce que JO avait pu me dire sur la période , c'est bien en avril 1945 que les femmes purent voter. Certes une ordonnance d'Alger du Gouvernement Provisoire date de 44, mais ce droit n'était pas connu des français, mis à part les personnes qui par tout moyen possible, tentaient de se tenir au courant de la France Libre du Général De Gaulle. Bref, ce droit est né à ces moments là, et il faut préciser qu'il était 'pour voter', comme 'pour être éligible'. Droit de vote des femmes donc, préoccupation de la fin du 20ème siècle, né dans une période où ce sujet n'était pas prioritaire, ni même jugé devant être étudié, et montrant peut être la vision d'avenir que s'était tracé le Chef de la France Libre et le Comité de Résistance ?

Mon père devait peut-être le savoir, mais d'autres impératifs étaient sur place, et il lui fallait être visible car il avait choisi de rester avec sa famille, et le moins visible possible dans ses réunions chez Chabot, place Henri à Lyon3 avec ses potes . Ma mère se désintéressait par contre, de ce sujet totalement, tant elle avait à s'occuper de la maison, de la famille, de savoir quoi faire à manger, de savoir où,était son frère, encore plus téméraire que JO, et d'éviter les bombes lancées sur l'aéroport de Bron, qu'elle voyait arriver sur sa tète par effet d'optique, alors qu'elles tombaient dix kilomètres plus loin, durant ces mois difficiles mais plein d'espoirs.

Les femmes ont gagné ce droit, qui petit à petit a progressé , tout comme au fil des années elles ont obtenu d'autres droits importants, et aussi celui de prétendre à un travail. Certes cette évolution ne va pas sans aléas. Créer en double un nombre de jobs en cinquante ans c'est énorme... il est donc normal que les industries aient des difficultés à suivre maintenant pour les conserver, bien que, rappelons le , elles ont fait des profits sans commune mesure par la généralisation des moyens de confort familiaux, ensuite les moyens automobiles, ceux de la médiatisation et des appareils de communication, et au 21ème siècle, le numérique. Où sont ces profits ? sinon dans des biens placés en valeurs colossales, immeubles, bureaux, et ces valeurs offrent elles des emplois ?? rien n'est moins sûr . Il faudra bien qu'un jour, quand on profite dans sa vie, des éléments de ses activités, qu'on évalue ce qu'il faut inventer, pour faire perdurer ce bénéfice plutôt que de seulement jouir sur le moment d'un peu plus qu'un autre, de la situation. Ceci est valable autant pour l'industriel que pour le politique.

Le reproche général est bien celui d'avoir profité, et ne pas avoir anticipé sur des périodes avec moins de profits pouvant venir, comme en ce moment, c'est à dire de ne pas avoir trouvé un moyen pour "épargner? le profit" pour le conserver dans le temps, alors qu' au contraire elles se sont livrées sans lois éthiques, à celles de la concurrence, qui fait une bulle de profits qui prospère, puis peut ensuite faire une bulle de déconvenues, qui perdurent, et c'est ce qui est à l'heure actuelle...

Nous sommes dans une époque quasi aussi difficile que 1945, en 2014, mais avec des paramètres différents, sans plan Marshall à venir. Les dangers sont en ce moment ce chômage qui dure, cette croissance qui n'arrive pas à venir, par peur des importations, une guerre possible en Syrie, et un danger signalé en Crimée. Par contre les 'bien lotis' s'en sortent bien. Surtout ne leur demandez pas s'ils ont besoin d'un coup de mains pour exercer, ça pourrait leur faire mal à leur portefeuille que deux collaborateurs de plus, leurs soucis principaux sont les vacances en cours ou à venir, les discours à prononcer, les postes à créer aux amis et ceux à supprimer d'abord. Les autres, et bien..., ils calculent le nombre de boites de sardines en placard, de pièces dans le porte-monnaie, de litre de sans-plomb qui restent dans le réservoir, ou la date des achats à venir pour les enfants, en évaluant si 'vraiment ces frais sont ou non indispensables'?

Nous sommes loin finalement, d'autre part des années où le spectacle et la musique pouvaient se créer normalement et avec des sons bien choisis et des mots intéressants. Parfois je me dis que ce tas de (bonnes) créations de ma part ces dernières années, non connues et non promues, seront bien à leur place sur le marché le jour où tous les entendront, le jour où un ou deux medias consentiront à m'inviter. Toutefois, en attendant, aucun revenu n'en émane et la pénalisation d'un artiste comme je suis, ne pouvant gagner sur ses oeuvres est un supplice immense et dégueulasse quand celui ci est persuadé par les échos qu'il en a, ici ou là, qu'il travaille bien et de façon mieux élaborée que ce qui est publiquement promu par les grosses firmes en parallèle.

CHAP.44

Pendant ce temps, "Enquète Exhaustive" de Canal Plus recherche la marque des préservatifs d'Arnaud Montebourg, ou le prix (2.000€, je rève), d'une fausse photo de Nicolas Domenach avec une secrétaire, à vendre à un journal? Autant dire qu'on est loin des reportages pour lancer la jeunesse vers la musique , écouter du classique ou du jazz, faire acheter les impérissables de Jacques Brel, ou faire découvrir par les jeunes les tableaux de Matisse !

Qu'y pouvons nous, sans pouvoir de décisions, ni même d'un petit avis à donner en public Tv ?, puisque dans ces chaînes, on tourne et retourne toujours les mêmes , de la liste qui se passe de production en production, ici invités, ici en spectacle, ici en avis politique, ici en potiche...Je dois me répéter, mais encore une fois : où est le direct ?? En tout cas, le direct est ici, sur ce livre en Net, à chaque ligne écrite ça c'est sûr! Le direct était avec JO, à la Bourse du Travail, avec des 'numéros' comme on en voit au Cabaret de Sébastien, mais...(dommage) sans Tv pour diffuser quelques jours après, ou des decennies après, si nous avions eu cette chance d'avoir des 16mm (le format de l'époque) mis de côté!

Le Jazz va changer aussi, certainement ?? il y a les clubs, les festivals, mais ?.. le jour où on reverra du Jazz en Tv, (espérons) on mettra en boîte et on diffusera ensuite, et on fera une sélection arbitraire, car on ne connaîtra rien, comme en ce moment, et une partie ne sera pas entendue.

Pour ce qui est du Palais d'Hiver, y a t il des films conservés, mis à part celui en ce moment sur Youtube ?? Ici ce ne sera pas tellement des artistes autres que ceux de la Chanson, français ou de tous pays, tant le Palais d'Hiver était la base d'envol de toutes les programmations de l'Olympia Bruno Coquatrix., de Ray Charles à Bécaud, en passant pas Cabrel et Lenorman...etc

Nous terminerons ce chapître 44 , en parlant des Fètes du D.DAY de ce mois de Juin 2014; hasard que le numéro de ce paragraphe et profitons-en puisque JO a eu aussi ses périodes , certes modestes mais réelles, où il a passé du temps lui aussi , à la Liberation de notre Pays, une période qui nous amena le visu des soldats qui resteront en France, avec cette musique de JAZZ que nous aimons tant. Bien qu'avant guerre nous ayons eu de bons enrégistrements 33 tours mono, qui avaient préparé le public personne ne pouvait savoir , bien sûr qu'il y allait avoir un conflit mondial se terminant par quelques soldats parfois musiciens, qui seraient stationnés à Fontainebleau, non loin de clubs parisiens.

CHAP.45

L' été 2014 nous apporte beaucoup d'autres sujets pouvant intéresser nos lecteurs. Tout à la fois, il est tenté un contact avec MyMajorCompay, pour éditer un CD-LP, peut être le même qui alimenta les radios-tv il y a 6 mois ? après réflexion, et divers avis, il n' y aurait plus que ce label pour sortir vers l'auditeur les enrégistrements actuels. Le marché de la musique a bien changé, le magasin de disques souffre (et les artistes). Reste à savoir si ce système est valable ?

Dans un autre domaine, celui de la nouvelle triste, nous apprenons qu'André Paquinet , la baquette du Big Band de l'Olympia vient de décéder. Il rejoint Roger Guérin pour nos amis nous ayant quittés. Nous sommes tristes nous musiciens, d'autant qu'André avait aussi connu JO, quand il était accompagnateur d' Annie Cordy. A la fois jazzman français, avec son ami également tromboniste Benny Vasseur, Paquinet comme Roger Guérin a joué dans l'orchestre de Quincy Jones, puis a accompagné Jacques Brel et Franck Sinatra ; Il a pris les arrangements en mains en 2006 à Jazzaparc, pour les trois jours qui ont reconstitué le Big Band de l'Olympia, il jouait toujours à un âge avancé, et quasi avec un son de mieux en mieux.

Les jours , les semaines et mois passent, sans contrat de suite nous ne savons qui prendra la baguette au B.B.O. Yvan Jullien ? , JM Defaye, Pascal Miconnet, ou notre lead Alto-s, voir le plus jeune ou le plus ancien? Finalement peu importe, le résultat sera le même car ici c'est une mécanique de son immuable, quels que soient les éléments. C'est l'ensemble des qualités de chacun qui produit un son général, y compris le tempo et l'atmosphère. C'est l'inverse de l'Orchestre qui trime devant le Chef qui transpire à demander un résultat... On retrouve rarement ce contexte. Je l'ai revu chez Phil Collins lequel , rarement aussi, monte un groupe de types sans problèmes, et son assurance donne confiance et chacun est à 70% de son potentiel ce qui donne un résultat sans bavure, serein, exceptionnel et à 120% de ce qui est attendu.

Ma pensée vogue aussi, te temps en temps, vers ce projet non mis en route à septembre 2014, de Société des Droits du Net pour les créations française téléchargeables en gratuit, alors que les plateformes étrangères arrivent et "occupent" les esprits des (un peu) techniciens-journalistes... C'est l'Homme de Loi qui doit ici comprendre qu'il faut habituer à télécharger des artistes moins connus, sans sortir de carte bleue, en leur réservant un droit d'auteur sur les € -plus de 2 milliards/an prévus- dans le projet avec les opérateurs, pour booster la production en hexagone, puis les passer en téléchargement payant des mois après, de façon à ce que la production (studios/éditions...) soit repérée hors nos frontières en déclenchant même la venue ici pour créer, et toutes les retombées médiatiques et matérielles s'en suivant.

Je me souviens de JO quand j'étais vers mes cinq ans, qui avec son ami Carlo (les fameux Carli-Carlo clowns très connus avant qu'on mette en pellicule Zavatta) lui dit avec sa voix très forte, entre deux loges de la Bourse du Travail de Lyon "Ta Mick Micheyl défonce le poste avec 'sa Maman' est ce que tu as pensé à la programmer en 'régionale' avant de la faire dévorer par les loups parisiens ? elle ne va plus revenir ici ?" -- 'Trop tard dit JO', qui n'avait pas prévu qu'elle aurait une seconde carrière en peintôles juste là où elle est née. Il est bon en effet de maîtriser une production, et dans ce cas, les sociétés de droits (même si elle ne paye pas le dû comme parfois, et même souvent --surtout aux plus humbles--), sont nécessaires à tracer les parcours.

CHAP.46

Beaucoup de choses ne seront pas analysée sur cette page. Une guerre est partie depuis quelques semaines au Moyen Orient, et notre Pays y est engagé. J' oublie des choses mais peut être j'y repenserai plus loin? Pendant ce temps, les (bonnes) émissions existent toujours, comme 'Hier Encore' France2, pendant que Clooney se marie enfin, en Italie, où je tiens à aller, les régions y sont si belles.

Reparlons de ces émissions, certes, où tous les artistes --ou à peu près--( certains sont oubliés ) sont les uns après les autres et les autres après les uns. La promotion est réduite aux mêmes, c'est ainsi . Tout le monde est beau et gentil, mais jazz et chanson crèvent...Certes, je m'en contenterais, mais je n'ai pas la faveur de ces réalisations que j'ai mille fois alertées. Heureusement des grands types ont des fils qui ont créé des sociétés où le disque existe, et pourquoi pas ce système ? je pense même que c'est l'avenir pour certains, même si ce n'est pas pour tous.

Une bonne nouvelle donc me parvient de MMCompany . On y a lancé mon projet de CD LP de 18 titres, et normalement en décembre 2014 les acheteurs auront tous leurs exemplaires. Toutefois j'y crois peu, car on juge de la musique sur un immédiat de "photos". Rien n'est sûr, ces exemplaires peuvent me rester sur les bras ? on y manie du son, du swing et ça ne plait pas à tous....trois mois c'est court pour éduquer les oreilles. De plus, on y juge en ce crowdfunding, un projet sur une image de projet, et si celle-ci n'est pas dans la norme des autres, personne n'ira voir le projet dans le détail, et le détail des contreparties que j'ai émises sont au TOP , ça va du téléchargement au concert! Et puis... le site en question fonctionne assez mal, robotique à fond, alors que dire ? On en reparlera dans trois mois. En attendant des bonnes, ou des mauvaises nouvelles, telle celle d'un vague cousin du côté des 'Lajoy', c'est à dire des Margerie et De Margerie, lequel, le plus connu ;capote son avion en Russie!..Oh rien ne changera pour nous, nous sommes des pauvres, des lointains, et son entourage est celui des riches et beaucoup vont avoir des regrets, c'est normal. Moi je vais regretter de ne pas avoir insister quand rien n'est venu en réponse d'un CDD de quelques temps que je proposais à son assistante, pour "filmer les recoins de ses raffineries", ce qu'il a peut être lu, ou non, selon ses adjoints ? et je me proposais, bien trop modestement, comme à chaque fois que je le fais .

En deux ans il aurait eu tout son empire en images, et mois de quoi relancer ma carrière artistique, grace à un bon salaire occasionnel permettant de me financer après en concerts, et j'y aurais introduit mon neveu , justement un Margerie!. Bref, pensons à autre chose, les torchons et les serviettes ne se mélangent pas, Bernard comprendra . Une bonne nouvelle (toujours dire 'peut être'?) arrive en décembre, juste avant 2015 , c'est le contact avec la Commission de l'Assemblée Nationale, pour une "audition" concernant le projet ""Sté des Droits du Net"" (page 9 de mon site). L'ouverture peut être? Mais... serai-je convoqué comme je l'ai demandé ?

On est encore une fois éloigné (les lignes d'avant), des époques de JO, mais ces jours,... on apprend que Cocker , un autre Joe et que Jacques Chancel nous lachent... Quelle période bizarre, JO n'a pas connu Joe, mais moi si. Quant à Chancel, c'est aussi une perte pour la création, nettement dans le style du travail bien fait que faisait mon Père. Tout, et certes ce sont des évènements tristes, me rappelle ce mois de fin d'année il y a 1/2 siècle, où nous avons perdu JO, très jeune, ce qui nous a fait tant mal pendant des années.

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